La Maverick d’ I-Tec est la première automobile à recevoir la certification de la FAA ( Federal Aviation Administration), et donc le premier hybride de voiture volante à pouvoir circuler librement sur la voie publique aux États-Unis.
C’est ici la concrétisation d’un projet ambitieux , et contre toute attente, sa conception n’avait qu’un seul but dès le départ : l’aide humanitaire.Steve Saint (cela ne s’invente pas ) à l’initiative du projet dirige une mission chrétienne baptisée i-Tec ( indigenous people’s technology and education center ) visant à réduire le fossé technologique qui sépare le monde moderne des tribus Sud américaines .
Il lui aura fallu pas moins de 6 ans de travail pour mener à bien le projet Maverick et arriver à une homologation lui donnant l’accès au réseau routier américain.
Cet hybride entre le buggy et l’ULM est animé par un 4 cylindres de Subaru développant 170 CV, permettant assez de poussées pour s’affranchir de la gravité et se laisser porter par sa voile.
Capable d’atteindre les 100km/h en 4 secondes, le Maverick s’envole grâce à sa voile de 6 mètres de large et ne nécessite que 90 mètres pour prendre son envol … plutôt utile dans les contrées ou les routes laissent soudainement place à la brousse.
C’est spécifiquement pour pallier ce genre de situations que le Maverick a été construit, il pourra à terme permettre de repérer des individus en difficulté depuis le ciel et de se poser pour intervenir rapidement par les voies terrestres.
L’appareil permettrait également à des tribus de rompre avec l’isolement et de devenir autonomes sans modifier leurs cultures ou modes de vie, une sorte d’outil ayant pour but de préserver un patrimoine culturel en péril.
Si pour l’instant la fabrication du Maverick s’élève à une note assez élevée de 80 000$, Steve espère une baisse rapide en multipliant les ventes en proposant par exemple son modèle à des fins plus récréatives …